Votre récente proposition de « nationaliser » Internet a suscité de vives réactions. Le terme n’est-il pas provocateur ?
Quand j’utilise le terme « nationaliser », je ne pense pas à la mise en place d’une tutelle de l’Etat, à la création d’une police des échanges entre particuliers. C’est à la maîtrise du réseau que je fais allusion. Elle est indispensable pour assurer l’indépendance, la souveraineté et la sécurité nationales.